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Le Président De La République, Chef Suprême Des Forces Armées, S’avoue Vaincu Et Impuissant, Face à L’arrogance Notoire Du Mfdc

“Maquis maquille Macky, Yahya danse Kumbaya”

Tout d’abord, nous tenons à rétablir, pour ensuite rendre un vibrant, chaleureux, honorable hommage, à nos vaillants Diambars (Corps armés), au Rugissement du Lion rouge, au Courage de Lat Dior Ngoné Latyr Diop, à la Clairvoyance de Bour Sine Coumba Ndofféne Diouf, à l’Abnégation d’Oumar Foutyou Tall, à l’Endurance et à la Sagesse de Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké.

La combativité de l’Armée nationale du Sénégal, n’a jamais de par le passé, suscité ou souffert d’interrogations, ni en Afrique, ni dans le monde entier. Voila tout le sens du solennel Cri de guerre, « on nous tue, mais on ne nous déshonore pas ».

Les Présidents qui se sont succédé à la Magistrature Suprême, de Léopold Sédar Senghor à Abdoulaye Wade, en passant par Abdou Diouf, malgré des manquements et des incohérences, à allure de manque de volonté politique, dans la gestion scrupuleuse de la Crise qui sévit au Sud du Sénégal, depuis plusieurs décennies, n’ont jamais tergiversé sur l’Intégrité du Territoire national, et la nécessité d’empêcher la sur-médiatisation, mais surtout l’internationalisation de cette malheureuse entorse.

Il faut juste noter que, ce Conflit fratricide qui perdure et ruse avec le temps, compte et recompte des milliers de pertes en vies humaines et matérielles.

Aujourd’hui, sous le magistère du Président Macky Sall, le silence mimique des armes, est beaucoup plus assourdissant du coté de l’Armée nationale, mais surtout de celui du Mouvement des Forces Démocratiques de la Casamance (MFDC), qui adopte une nouvelle stratégie, qui va de la prise en otage, aux actes terroristes, en passant par la sur-médiatisation, pour l’approbation progressive de sa Plate-forme ou de ses Revendications indépendantistes, par le subconscient de l’opinion nationale et internationale.

Dans ce qu’il convient d’appeler l’ «Affaire Atika», Salif Sadio, ancien élève du Lycée Djignabo de Ziguinchor, Chef de Guerre du MFDC (Front nord), tout comme le Patriarche de Banjul, ancien élève de l’ENSOA de Kaolack, Yahya Jammeh, ont tous démontré sans équivoque, qu’ils maîtrisaient mieux que Macky Sall et ses Bouffons de Conseillers, la Théorie de Sun Tsu, éloquemment développée dans le Chef-d’œuvre, «Art of War » (Art de la Guerre).

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Selon le Maître, jusqu’ici incontesté de la Guerre tout comme de la Guérilla, Sun Tsu, la meilleure défense est l’attaque, et qu’il faut engager l’ennemi directement, mais surtout l’obliger à combattre à une heure précise, sur un terrain minutieusement choisi, et à un moment bien indiqué.

Il faut passer par les flancs et les postes les moins résistants, pour l’amener à s’agenouiller, comme dans la rhétorique d’ « Achille aux tendons d’argile ».

L’un des Piliers de ce Chef-d’œuvre, est la détermination et la volonté sans relâche, de remporter la victoire, non pas en empilant des cadavres d’ennemis, mais plutôt, parvenir à frustrer, dans un premier temps, les troupes adverses, pour principalement les démotiver, les démoraliser, et finalement les forcer à renoncer à l’affrontement direct. Pour rappel, le combat armé a pour finalité ou objectif, la résolution politique.

Désormais, ce qui fut le « Cri du Lion » des Diambars, peut être reformulé, après une observation microscopique des évènements aboutissant à l’élargissement des « 8 soldats otages » par le MFDC comme suit, « on nous tue, mais Macky nous déshonore ».

En faisant la lecture d’images des Diambars, assis à même le sol, avec des sandales, devant le Chef de guerre d’Atika, Salif Sadio, non pas en tenue uniforme de combat, il saute à l’œil nu que, ce dernier ne voue aucun respect à nos Diambars, qu’il symbolise en porteurs du mal, voués à l’échec, et lui, en saint messager de la Paix, « Dompteur de Diambars».

Le Président Macky Sall, comme s’il se réjouissait de cet affront, a agit en parfaite ignorance de la règle la plus élémentaire de la Théorie de Sun Tsu, « la guerre est une affaire de vie ou de mort ».

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Pour motiver le soldat, il est impératif qu’il se rende à l’évidence que, s’il refuse de combattre, ce qui, il faut le souligner, est loin d’être la posture de nos vaillants Diambars, il accepte volontiers la mort, et tout ce qui y a trait. Macky Sall semble dire aux jeunes soldats sénégalais, fraichement déployés, « ne mettez plus vos vies et celles de vos supérieurs en danger sur le théâtre d’opérations, laissez-vous capturer, et l’Etat du Sénégal, acceptera sans condition, de payer n’importe quelle rançon, afin de vous libérer des « griffes » mortelles du MFDC, et de tout autre ennemi.

En lieu et place des Bouffons de Conseillers du Président Macky Sall, nous l’aurions convaincu d’user d’une opération « Coup de poing», joignant l’Armée de terre et l’Armée de l’air, afin d’amener Salif Sadio et ses combattants, à relâcher, au prix de leur vie, les Diambars détenus dans le Maquis.

Il y aurait probablement quelques pertes en vies humaines et matérielles, mais la dignité et l’honneur de nos Diambars, seraient sauvegardés, mais surtout, l’Etat du Sénégal, disposerait des moyens stratégiques politico-militaires, pour résister au Piège des « pourparlers » hors du Territoire, et de l’immixtion inutile de la Communauté de Sant-Egidio, dans les Affaires intérieures du Sénégal.

Nous sommes persuadés, sans l’ombre d’un doute, que nos vaillants Diambars préféraient revenir à Dakar dans des cercueils, et en tenue criblée de balles ennemies, que dans un avion bidon, affrété de Banjul à Dakar, en grand boubou, et serrant la main d’un Président de la République, Chef Suprême des Forces armées, qui s’avoue vaincu et impuissant, face à l’arrogance notoire du MFDC, sous les projecteurs des télévisions nationales et internationales.

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En exclusivité, nous sentons l’obligation d’alerter et de dire au Président Macky Sall, qu’il est à deux doigts de la Haute Trahison, pour avoir non seulement accepté de négocier ou de « mercantiliser » l’Intégrité du Territoire national, mais surtout de l’avoir fait de la manière la plus lâche et ignominieuse, en validant les « Pourparlers » de Sant’ Egidio , et en internationalisant, pour ne pas dire, en « vaticanisant» le Dossier indépendantiste de la Casamance, comme dicté par la Rébellion.

Il faut le rappeler à qui veut l’entendre, les régions de Ziguinchor, de Kolda et de Sédhiou, font partie intégrante du Sénégal, et qu’il est hors de question d’accepter de se faire tordre la main, ni par Sant’Egidio, encore moins par des Brigands, Marchands de la mort ou des Maquisards encagoulés, et Porteurs de mallettes.

Pendant ce temps, Salif Sadio et ses légionnaires seront dans des hôtels « 5 étoiles », pour parapher leurs derniers chapitres d’ « Indépendance » de la Casamance, et Yahya Jammeh, en heureux Gagnant, se réjouira d’avoir étouffé le « Conseil National de Transition » (CNT), qui a naïvement, depuis sa création, compté sur le soutien du Sénégal, afin de le débarquer des « Collines » de son Palais « royal » de Banjul.

En toute fierté, nous reprenons Thomas Sankara, « la Patrie ou la mort, nous vaincrons ».

A bon entendeur…

 

Papa Latyr Faye

MBA International Development Consulting

bayefaaltouba@gmail.com

“Justice to the Righteous-Rule of Law” (Justice aux Ayants droit-Force à la Loi

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