Après la parution de l’interview de Oulimata Sarr, élève de 18 ans, trainant une grossesse de plus de trois mois dont l’auteur n’est autre que son géniteur Djadji Sarr, parue dans le quotidien l’OBSERVATEUR du 03 Septembre 2011, j’ai senti la nécessité de proposer aux parlementaires de ce pays de re-penser la loi sur l’Interruption Volontaire de Grossesse (IVG) au Sénégal, lorsque l’auteur de l’abus sexuel est apparenté à la victime.