Devenu sport favoris des sénégalais, la lutte voit ses ténors, à la veille de leurs combats, se tourner presque instinctivement vers les compétences étrangères à la recherche de « qualité » dans leur préparation. Pour ces raisons, certainement parmi d’autres, ils vont rouler des pneus dans des espaces exiguës, ou courir sur la neige ou du bitume, sous le regard de leurs coach de fortune sûrement payés à coup mil… d’euros ou de dollars, c’est selon.