L’objet de cette contribution n’est pas de pousser un cri du cœur pour dénoncer les actes délictuels de contrefaçon de la propriété intellectuelle des créateurs artistiques et littéraires. Mon propos est surtout d’attirer l’attention de l’État, des juristes et des acteurs culturels sur une grave confusion relevée dans la qualification du délit consistant à « reproduire frauduleusement une œuvre littéraire, musicale ou artistique ».
Archives journalières : 24 avril 2012
        
          3 articles        
      
                    Dans un article antérieur (la lutte sénégalaise : à quand la fin de la violence), suite aux altercations sanglantes entre les partisans de Yékini et Balla Gaye 2, j’attirais l’attention sur la recrudescence de la violence autour de la lutte, violence à laquelle nous commençons malheureusement à être habitués à force de sa banalisation abusive : le sang coule, mais on s’en émeut peu, ou l’on exprime notre admiration : « Youbounako ardo » à l’endroit du saigneur de l’arène
Au Sénégal, les groupes religieux qui sont de plus en plus puissants menacent les fondements de la souveraineté étatique.