Quand il pleut, la banlieue pleure et le monde rural sourit. Quand les pluies se font rares, la campagne s’évanouit et la banlieue s’épanouit. Si on analyse la situation pluviométrique du Sénégal sur les quarante dernières années, on se rend compte qu’elle est rythmée d’une alternance d’années de vaches maigres et d’années de vaches grasses : sécheresse et période à forte pluviométrie se suivent comme le jour et la nuit.
Archives journalières : 27 août 2012
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Les titres barrent toutes les unes. «Un peuple, un but, trois fois Korité », « Korité dans la division », « Korité à trois vitesses ». Les unes après les autres, les unes de la presse étalent leurs titres accrocheurs. L’unanimité sur la division semble être consommée. Au moins un avis qui ne divise plus chez nous. L’Etat, au plus haut sommet, y est même convié. Au bout, l’engagement d’y remédier si les religieux lui confèrent ce pouvoir. Des religieux, dont certains, se sentant interpellés par l’opinion, fustigent eux-mêmes cette division. Tentant, chacun, de tirer sa couverture cultuelle sur soi. Égratignant même au passage « l’échec des chefs religieux du Sénégal (sic) à s’unir pour célébrer ensemble les fêtes religieuses ».