l arrive qu’on subisse des préjudices tellement de fois, qu’on finit par inscrire cela dans l’ordre normal des choses ou qu’on s’en accommode. Mais, « tant va la cruche à l’eau, qu’à la fin elle se casse », a dit l’adage. Je n’aurais certainement pas écrit sur cette affaire si je n’en avais pas souffert plus d’une fois, surtout dans un intervalle de temps assez réduit.