Le Djaay Taar et le Mbarane des Modou-Modou produisent un opium qui engourdit le génie de notre société. En Europe et en Amérique, les entreprises déposent bilan jour après jour, et les courbes du chômage grimpent de manière exponentielle. La priorité nationale est de mise pour l’accès au marché de l’emploi. Les immigrés, qui dans leur grande majorité occupent des emplois peu qualifiés, sont touchés de plein fouet. Il est dès lors choquant de voir la mégalomanie de Modou-Modou qui, en vacances au pays d’origine, exhibent avec fierté des signes factices de richesse extérieure, applaudis par une société en perdition.