Malgré son corollaire de violence, de dopage, de montages financiers parfois particuliers, la lutte sénégalaise, en tant que sport «national», mérite bien évidemment son terrain de jeu. A cet effet, la décision du gouvernement de construire une arène nationale d’une capacité de vingt mille (20.000) places doit être bien accueillie. On peut aussi comprendre la volonté du Président de la République d’ajouter une telle infrastructure sur la liste de ses réalisations, à l’heure du bilan en 2017.