Comme tout le monde le sait, nous sommes un fieffé partisan de tous processus qui participent de ce que nous concevons comme « une introspection prospective et salubre », y compris surtout lorsque nous nous estimons devoir prendre la pleine mesure de trois décennies de guerre en Casamance. Aussi, est-ce dans le cadre d’un tel exercice qu’une question, une seule question, hante nos nuits : Pourquoi les dirigeants de notre pays, ceux d’hier comme ceux de nos jours, n’aiment-ils pas, ou pas assez, la Casamance ?