Je l’ai défendu plus d’une fois : le journalisme est un noble métier. Noble parce qu’étant un outil adéquat pour la dissipation des ténèbres. Noble parce qu’étant la voix et les yeux de ceux qui n’ont pas les moyens d’aller vers l’information. Mais, cette noblesse est valable pour tous les autres métiers qui jouent mieux ou autant leur partition dans la symphonie d’une nation.