Le 21 février 2014 je postais depuis mon blog un texte que j’avais intitulé « la dictature du bréviaire ». Un texte que je voulais court pour ne pas faire fuir mes habituels lecteurs. Pourtant, ils ont été peu nombreux à laisser des commentaires. Le titre du texte est sans doute une des causes de cette réserve inhabituelle de mon fidèle lectorat. Pour aller vite, il s’agissait à travers ce titre métaphorique de focaliser la compréhension a priori du lecteur sur le caractère liturgique, mystificateur et non moins inscrit dans le temps de l’enferment de l’imagination politique dans la culture d’extraversion de nos dirigeants. Il me paraissait important de suggérer à quel point la répétition presque incantatoire des discours et des modèles politiques importés était devenue un rituel dictatorial contre notre peuple. Une liturgie érigée en instrument politique?
Archives journalières : 23 février 2014
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Ne boudons pas notre plaisir : la lecture de l’avant-projet de Constitution démontre que les membres de la Commission nationale de réforme des institutions ont réalisé un travail de haute facture qui mérite d’être apprécié à sa juste valeur.