En tant qu’acteurs dans le domaine de l’enseignement de la langue arabe, nous ne pouvons que saluer la décision politique de créer un baccalauréat arabe sanctionnant tout un cycle d’enseignement donné à des apprenants, en bonne et due forme. Cette décision est d’autant plus saluée de notre part que la création d’un baccalauréat arabe est le couronnement des efforts et des sacrifices consentis par toute une génération d’hommes et de femmes, depuis l’intégration de l’enseignement de l’arabe dans le système éducatif national.