La récente bavure au sein du campus social de l’UCAD qui a vu le décès tragique de l’étudiant Bassirou Faye relance non pas seulement la question de la présence des forces de l’ordre au sein de l’université, la question globale des franchises universitaires, la question de la création d’une police de l’université. Il nous semble qu’au-delà de ces questions spécifiques à l’université et à son fonctionnement, c’est le rapport de nos élus et des hommes qui nous dirigent en général avec le bien public (dont l’enseignement dans les structures de l’Etat est un secteur essentiel) qui est posé.