Dans une contribution parue à « Dakaractu » et au quotidien « L’AS », Monsieur Thierno Bocoum m’a, comme d’habitude, abreuvé d’injures grossières. Je me suis toujours gardé d’ailleurs de répondre à ses pamphlets, non point faute d’arguments, mais plutôt parce que je pensais qu’il avait bien le droit de défendre son leader. Cette fois, je vais déroger à la règle pour clore définitivement, pour ce qui me concerne en tout cas, la page Idrissa Seck.