La permissivité est aujourd’hui à outrance au Sénégal surtout en ce qui concerne la religion. Malheureusement, on acquiesce par une facilité traumatisante des pratiques qui heurtent gravement les fondamentaux de la religion. De nos jours, la religion est mêlée à toute sorte de facétie et de pratiques canularesques. En effet, depuis un certain temps la lutte, la musique et la danse ont dominé le quotidien des Sénégalais et pire on fait le méli-mélo entre le sacré et le ludique.