En feu et en flamme, le drapeau tricolore a fait les frais de l’indignation des sénégalais peinés de la représentation mesquine du prophète de l’islam. Un enfant noir, lointain africain, aspirant sénégalais, né sous le ciel gris de l’exil des pères, a surpris d’une interrogation sur le sens d’un tel geste manifestement disproportionné. Heu ! Il s’agit, sous l’impulsion des brûlants mollahs tropicaux, de désaccords contre des publications blasphématoires qui s’expriment confusément. Refus de modernité ou combat d’une nouvelle génération, éprise de rigidités et du désir de plénitude ?
Archives journalières : 18 janvier 2015
        
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                    On est en droit de nous demander si le peuple sénégalais n’est pas passé champion dans l’oubli de certains événements marquants de son histoire au point de saper son développement.