La rationalisation du système partisan s’impose avec l’existence de plus de 230 partis politiques légalement constitués au Sénégal. En effet, la pléthore de partis politiques, loin d’être l’expression d’une vitalité démocratique, apparaît comme un nimbus qui risque d’assombrir l’espace de dialogue de la citée. Le constat s’étend au-delà de nos frontières et suit la même logique dans des contextes différents.