Menhir sur le socle de notre fraternité, sur la nécessité historique de concrétiser la nation sénégalaise. Je vous en conjure, dignes enfants de la Casamance, miroirs de ma souffrance et de mon déséquilibre, approchez-vous. Nous proposons engagement et unité dans l’honneur et dans l’enthousiasme. Plus que frères, jumeaux incompris, compagnons siamois, sosies encagoulés, vous êtes à ma portée. Pardonnons-nous les fougues innocentes et les manquements coupables, j’en souffre et j’en arrache.