Le système sénégalais d’imposition sur les produits pétroliers est très pesant. Les hydrocarbures font partie des biens les plus taxés. À la fiscalité commune aux pays de l’UEMOA, l’Etat a ajouté le Fonds de Sécurisation des Importations des Produits Pétroliers (FSIPP) et le Prélèvement de soutien au secteur énergétique (PSE). Alors que le Mali est à un taux d’imposition de 27%, le Sénégal applique une taxation jusqu’à 50% sur les prix à la pompe.
Archives journalières : 8 septembre 2015
Au Sénégal, les différentes annonces de politique publique sur la région de Ziguinchor, en termes d’investissement et de développement, ont été souvent faites avec des visées politiques plutôt qu’avec une ambition réelle de développer la région. Et pourtant, cette région naturelle regorge d’un potentiel de développement qui peut contribuer à impulser une dynamique de croissance durable dans tout le Sénégal. Comme nous allons le voir dans cet article, la région de Ziguinchor possède tous les atouts nécessaires pour contribuer à la construction d’un Sénégal émergent, pour peu que les discours politiques aillent au-delà du leitmotiv de la paix pour s’orienter davantage vers une dynamique réelle de développement.
A l’image du pays ou plutôt avec l’impunité qui règne au Sénégal, les banques sénégalaises se conduisent, totalement, en véritables hors-la-loi, donc, comme bon leur semble. Elles décident et s’autorisent arbitrairement, la création de toutes sortes de taxes et de frais, parfois illogiques et injustifiables, au détriment de leurs clients. Ceci, avec la complicité de la B C E A O, une simple spectatrice, et très certainement aussi, avec l’accord tacite du Gouvernement, précisément, du M.E F, qui ne lève même pas le plus petit doigt, pour freiner un vol organisé en système et légalisé.
En lisant la presse écrite, en écoutant la radio et en regardant la télévision une question effrayante et chagrine me vient à l’esprit: quel Sénégal léguerons-nous à nos enfants?