Et si on parlait de l’enseignement au Sénégal ? Un coup de pied dans la fourmilière de l’enseignement au Sénégal ! En effet, ces deux titres, dans le contexte actuel, seraient plus appropriés que ce titre on ne peut plus ubuesque qui défile sous nos yeux d’écrivassiers. Ubi taay, grève taay, est un concept né depuis quelque temps et est dans l’air de la chanson populaire. Un concept créé par des enseignants en mal d’être et dont leur avenir semble bouché. Afin un concept pour réclamer de bonnes conditions de travail. Mais ont-ils le droit de décider ainsi de notre rythme scolaire et de braver quelques interdits ? Difficile de répondre à cette question à brûle-pourpoint, qui ressemble à une patate toute chaude, sortie de la fournaise. Même les enfants en bas âge, repus et bien biberonnés, entonnent cette triste ode.
Archives journalières : 23 septembre 2015
        
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                    C’est le philosophe Sénèque qui écrivait dans son ouvrage intitulé La brièveté de la vie que « Bien des grands hommes se sont affranchis de tout soin, ont renoncé aux richesses, aux emplois, aux plaisirs, pour ne s’occuper, jusqu’au terme de leur carrière, que de savoir vivre. Cependant presque tous ont avoué, en quittant la vie, qu’ils n’avaient pu acquérir cette science : comment à plus forte raison les hommes dont nous parlons l’auraient-ils apprise ?» .