Lors d’un échange sur un réseau social, un ami parlementaire, membre de Benno Bokk Yakkar, à qui je demandais si la session avait démarré, me répond d’une façon espiègle : « ils sont entrain de manœuvrer ». Cette boutade m’a amené à réfléchir sur le travail parlementaire qui est effectué depuis trois ans.
Archives journalières : 20 octobre 2015
Plus exactement, le titre, c’est plutôt : « Serigne Bassirou Abdou khadre souhaite et prie pour les retrouvailles entre Me Wade et Macky Sall et non Touba». Mais, nous pensons objectivement et en toute honnêteté, que nos guides religieux musulmans devraient plus, se préoccuper à resserrer leurs rangs pour retrouver l’unité simple à défaut d’organique de la communauté musulmane sénégalaise, plutôt que de chercher ou vouloir résoudre une équation impossible. C’est-à-dire l’entente cordiale entre un pouvoir politique et son opposition.
A la faveur de l’instauration du multipartisme en 1974, le Sénégal connait, à l’heure actuelle, une prolifération des partis politiques. Les porteurs de cette réforme entendaient certainement augmenter la vitalité de la démocratie sénégalaise en permettant aux citoyens d’avoir le choix entre plusieurs offres ou programmes politiques différents. La diversité des partis politiques est alors, dans son principe, porteuse d’une démocratie rayonnante. Pourtant, paradoxalement, ces organisations qui sont censées impulser la démocratie ne peuvent pas se prévaloir d’une démocratie interne.