« Nous avons lancé une politique de recensement du secteur informel pour arriver à avoir des données statistiques beaucoup plus fortes et crédibles », a fait savoir le président Macky Sall. Et après! Sommes-nous tentés de dire. En Cote d’Ivoire, des cartes professionnelles n’ont été décernées aux chauffeurs de taxi que pour les assujettir à des taxes forfaitaires. C’est peine perdue, une démarche efficace viserait davantage les causes plutôt que les conséquences de l’économie informelle.