Les qualificatifs mérités des gesticulations enfantines de notre classe politique les disqualifient totalement : « mauvaise image », « agresseurs », « borne-fontaine », « ne respectent pas le peuple », « besoin de prise en charge mentale ». Autant dire qu’il n’y a rien à espérer d’eux.
Archives journalières : 6 novembre 2015
        
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                    Ils nous ont attaqués et agressés, nous leur pardonnons. Ce sont des collègues encouragés par une dynamique de groupe qui leur donne un courage qu’ils ne réussiront jamais à acquérir seul et qu’ils n’ont jamais acquis quand nous étions ensemble dans l’opposition. Ils sont en plus sûrs de leur impunité et peut être même des félicitations et encouragements de leur leader.