Il se mène une lutte sans merci dont l’enjeu est d’être le roi de l’arène social. Les lutteurs issus des différentes écuries politiques s’y affrontent. Tous les coups sont permis dans cette arène qui ne connait ni gauche ni droite. L’enfer des pauvres est invoqué pour justifier cette bataille électoraliste. Chacun a ses pauvres aux couleurs de son écurie politique et se fait bonne conscience politicienne. Ceux qui ont misé sur le bon lutteur sont indifférents car servis. Les autres bénéficient de miettes, transhument ou attendent les prochaines échéances électorales avec philosophie.