Pour esquiver et faire oublier le bilan catastrophique de ses turpitudes politiques et de son passage en demi-teinte à la primature, le premier ministre Idrissa Seck prête sa voix aux rumeurs et manipulations sur le bilan et la politique économique du Président Sall sans se sentir tenu à aucune obligation de sincérité, d’honnêteté ou de transparence.