Nationalisation ou dérégulation des activités de SUNEOR, le potentiel de la structure ne sera mis en valeur qu’à la condition de son ajustement à la concurrence étrangère. S’il faut reprendre ce bijou de la main d’Abbas Jaber pour le remettre à un autre chercheur de profit sans que les conditions de production et de commercialisation optimales ne soient assurées, un échec s’en suivra à coup sûr. La relance de la première société agroalimentaire du Sénégal doit, pour combler les attentes, s’accompagner d’une réorganisation de toute la filière; sinon elle débouchera sur une SUNEOR bis.