J’avais décidé dans un premier temps de ne jamais écrire sur « l’Affaire Lamine Diack » pour deux raisons principales : D’abord parce que l’homme en question bénéficiait, de ma part, d’un capital de respect, fondé sur des préjugés favorables, qui risquent de s’effilocher avec le scandale de la corruption et de l’antidopage.