L’attention, pas seulement des médias, mais aussi des parents est en ce moment braquée sur cette crise chronique aux gouvernements d’antan, d’hier et d’aujourd’hui.
Il est difficile de concevoir la souffrance des parents qui voient leurs enfants dans le chômage après de longues années d’investissement pour les études et l’apprentissage.
Les chômeurs augmentent et ne voient aucun impact visible de forte croissance notée par certains ministère, institut ou comité de sondage. Le grand but des lettres de politique de jeunesse, de même que la formation des jeunes n’est pas seulement de nous faire part de votre savoir-faire, mais l’action pour un impact positif et visible.
Encore une fois de plus, des prétentions plans pour aider les ministères en charge de cette brûlante question: le chômage. Oui! Le chômage; S’il est vrai que la lettre de politique sectorielle de développement du ministère de la jeunesse permettra au secteur de la jeunesse de jouer pleinement son rôle de levier de développement économique et social.
La misère sociale s’accentue de jour en jour, causant une impatience des jeunes, car ils dorment avec des idées en attentes.
Alors, que la vérité nous impose de poser tous les moyens pour travailler de commune mesure dans les domaines déclinés par le staff devant mettre en œuvre les principaux volets de cette lettre « ministérielle » dite boussole du département…l’éducation populaire, de l’emploi et de la construction citoyenne.
Ces secteurs, bien que précisés restent l’affaire de tous. Il ne s’agit pas de chercher une bonne visibilité du ministère de la jeunesse, mais plutôt de mettre des projets et programmes de développement pour résister face à la hausse du taux de chômage. Résister par la prise en compte de l’effort du privé et les soutenir, car les entreprises privées créent de l’emploi. Résister par la lutte contre la médiocrité qui monte et qui gangrène notre société, et qui souvent dévalorise nos ressources de qualité au détriment des (papa où t’es) Tenir bon ! Face à la flexibilité des partenaires financiers qui changent souvent du jour au lendemain d’axes de financement, car l’important c’est de les retenir et accrocher à notre projet de développement dont vous avez donné les clés de réussite qui sont planifiées sur cinq ans.
Même si les autorités étatiques veulent évoluer (émerger) davantage dans un futur proche, le grand défi est véritablement la création d’emplois décents. Donnerez-vous des chiffres exacts sur le nombre de chômeurs ? Qui l’est et qui ne l’est pas ? Combien de contrats d’embauche avez vous créé? Le bilan des emplois aidés, l’illustration du seul recours existant, car l’on se rend compte de jour en jour que la recherche d’emploi dans ce pays ne passe par bras long à défaut par long bras. Dommage!
Au fil des années devrait-on remarquer que les lettres de politique sectorielle ne suffisent pas et les jeunes ne peuvent pas trouver de l’emploi sans l’appui du privé. Les formations adéquates existent, grâce à internet et autres supports numérisés ludiques et pédagogiques.
Le ministre de la jeunesse, son ministre conseiller et directeur de cabinet ont pourtant la chance de bien vouloir créer de nouveaux canaux, pour résoudre le problème du chômage des jeunes. Notre jeunesse regorge des compétences dans des secteurs ô combien porteurs. Que ce soit dans l’innovation et les Tic, la promotion de l’innovation. Une population qui utilise, presque tous, les technologies. Les TICs pour l’Agriculture, pour l’élevage et pour l’amélioration des productions locales, pour des retombées dans le panier de la ménagère… La promotion de ce secteur ne peut se faire que par la jeunesse du pays. Connecté, bien sure…. « nuru sa jaamono Mo gën nuru sa baay » le but de cette contribution est de vous demander d’aider à mettre en lumière, à développer et à tirer le maximum possible de ces puissances qui sommeillent en vos ministères.
@Thiendella