Dans une de mes récentes chroniques intitulée: « Réduction de son mandat de 7 à 5ans : le président SALL y tient-il réellement? », je m’interrogeais avec scepticisme sur la véritable intention du président de la République en ces termes: « Pourquoi épiloguer dés maintenant sur un éventuel refus du conseil constitutionnel d’accepter la réduction du septennat ? Mieux encore, pourquoi essayer de trouver un fondement juridique à cette hypothèse? N’est-on pas entrain de préparer l’opinion à un wax-waxet couvert du voile de la légalité par le conseil constitutionnel? L’avenir nous édifiera ! »
Archives journalières : 17 février 2016
La dégradation de l’environnement a connu, pendant ces dernières décennies, une ampleur inquiétante, notamment dans les pays sahéliens. Ce phénomène affecte, de façon sensible, la qualité de vie des populations rurales et urbaines qui dépendent des ressources naturelles pour l’essentiel de leurs besoins de subsistance. L’Environnement, selon GOFFIN, est « un système dynamique défini par les interactions physiques, biologiques et culturelles perçues ou non, entre l’homme et les autres êtres vivants et tous les éléments du milieu qu’ils soient naturels, transformés ou créés par l’homme ». Ces interactions de plus en plus désarticulées engendrent la rupture des équilibres naturels et sapent le bien-être des populations.
Nervosité suspecte, fuite de responsabilité, courage discutable, colère sans cause… C’est le stock de marchandises avariées et frauduleuses que le Président de la république vient de fourguer aux Sénégalais dans un emballage étiqueté «reniement d’un engagement électoral». Le coup de massue est terrible et sans appel contre la démocratie sénégalaise, contre les valeurs d’éthique et de probité morale, contre toutes ces autres valeurs opposables aux turpitudes quotidiennes des hommes et femmes politiques de notre landerneau.