Jean Paul Diaz a lâché une bombe : « À part Gakou, tous les leaders de parti qui affichent une ambition présidentielle ont puisé dans les fonds politiques ». Le combat pour la bonne marche du pays est celui contre tout un système politique pollué de cabales. Il ne doit épargner aucun des acteurs politiques de l’establishment coupable ; il porte l’estocade sur tous ces politiciens qui sont là depuis des générations et qui perpétuent le jeu pernicieux du « plus beau que moi, tu meurs ». Ce combat prend en apparence la forme d’un cynisme sec et superflu, mais il est à la recherche d’exigences nouvelles et d’alternatives véritables.