Prenant fait et cause pour son promotionnaire, l’ancien ministre Bamba Ndiaye soutient pleinement la nomination de Abdou Aziz Kébé comme nouveau responsable du pèlerinage à La Mecque qui a, selon lui, le « profil parfait pour l’emploi ». Les arguments de l’ex ministre sont de deux ordres : Kébé parle couramment arabe et connaît bien la géopolitique du monde arabe. Ils sont tous les deux diplômés d’Islamologie.
Archives journalières : 3 mai 2016
Dans ma vie j’ai toujours eu un faible pour les affaiblis ! C’est mon coté justicière et disons que je partage ce penchant avec la plupart de mes compatriotes ! Nous abhorrons l’injustice et dès que l’on considère que quelqu’un en est victime, notre empathie se met au galop, quitte à nous tromper de colère à posteriori mais notre premier reflexe est de défendre la veuve et l’orphelin ! Je déteste l’injustice de façon atavique oui ! Prenons l’exemple de la guerre entre Wade et Macky, lorsque que l’on encense l’un je défends l’autre et quand on attaque l’autre, je défends le premier. Je considère que les deux hommes sont de grands chefs qui ont du mener des combats titanesques pour forger leurs destins et au fond d’eux ils se vouent ce respect des guerriers qui savent ce que signifie douleur, souffrance, amertume et solitude. Je suis certaine d’ailleurs que si l’un d’entre eux venait à disparaître, l’autre serait inconsolable.
Le tollé dans les Accords de partenariat économique (APE), c’est l’arbre qui cache la forêt, c’est notre manque d’organisation qui nous poursuit. Pendant que les négociations étaient en cours pour un accord global, la Côte d’ivoire et le Ghana ont signé en 2007 et en 2008 des accords intérimaires au risque de faire éclater le processus d’intégration sous régionale. Au pied du mur, la CEDEAO avait pourtant rejeté un accord sur les biens et avait appelé à un délai supplémentaire pour conclure les négociations. À l’échelle des pays et des communautés africains, il y a lieu de miser sur l’atteinte des objectifs de conditions économiques gagnantes dans les échanges internationaux. L’imposant et l’incontournable marché international et ses lois iniques de capitalisme barbare nous l’imposent. Hélas !
Dans le cadre de l’Acte 3 de la décentralisation avec l’avènement des Pôles territoires, la région de Kaolack est appelée à jouer un rôle de relais de croissance pour l’économie sénégalaise d’une part et d’autre part, une zone tampon entre le Sénégal et les 7 pays de la Zone Uemoa, à l’image du Mexique qui est la zone tampon entre les 2 Amériques, l’Amérique du Nord et l’Amérique du Sud.