Déjà cinq années se sont écoulées depuis ce légendaire jour du 23 juin qui reste gravé dans l’histoire du Sénégal par l’esprit de refus du peuple qui pourtant semble être trahi par la suite des événements. C’est avec une vraie légitimité que des citoyens se sont dressés devant l’assemblée nationale pour faire annuler un projet jugé illégitime.
Archives journalières : 23 juin 2016
L’image de l’éducation est ainsi écornée. Notre école subit une réelle menace des corps émergents avec ce que j’appelle une « rébellion éducative ordinaire ». Sous des effectifs pléthoriques et sous d’éternels mouvements d’humeurs et de notoriétés d’enseignants, de collégiens, de lycéens et d’étudiants sur-syndicalisés, depuis presque des années, l’école sénégalaise n’enseigne plus.
Le ministre Conseiller du Président Maky SALL, fréquente de manière assidue, les plateaux de télévision et les studios de radio sous le titre pompeux de politologue. Mais diantre ! Pourquoi cet informaticien a-t-il honte de sa profession ? Est-ce avilissant, déshonorant, humiliant de dire sa véritable profession ? A-t-il besoin de s’auto proclamer « politologue », pour donner de la consistance à ses points de vue. Apparemment oui ! Mais, s’il est vrai, comme il le dit, s’adressant au Doyen Mody NIANG, que l’on ne s’autoproclame pas « journaliste », il est tout aussi vrai que l’on ne s’improvise pas « politologue ». D’ailleurs, il faut dire à la décharge du Doyen NIANG, qu’il ne s’est jamais autoproclamé journaliste. Il n’en a cure. Mieux, depuis plus d’une dizaine d’années, il contribue avec talent au débat public sur la gouvernance de notre pays. Or, c’est seulement aujourd’hui et maintenant que l’informaticien honteux s’en rend compte parce que son bienfaiteur, le généreux « petit Wade », est dans le viseur patriotique du brillant contributeur. Çà suffit M DIOP !
Depuis quelques temps, voire quelques années, OUSMANE TANOR DIENG le numéro 1 du PARTI SOCIALISTE au Sénégal pose des actes de plus en plus incompréhensibles, même chez ses propres « ouailles » socialistes. Des actes et des prises de positions, unilatéralement, sont posés et adoptés par lui seul et/ou avec son premier cercle de fidèles sans en référer au parti qui sans nul doute pourrait être assimilé jusque récemment à la formation politique la plus démocratique du pays au point de vue structuration et fonctionnement.
Avec près de la moitié de la population résidant en zones urbaines, le Sénégal présente un taux d’urbanisation supérieur à la moyenne observée en Afrique subsaharienne (40%). Dans ce pays, la proportion de citadins a quasiment doublé ces dernières décennies — de 23% dans les années 1960, elle est passée à 43% en 2013 — et devrait s’établir à 60% à l’horizon 2030. Certes, cet essor s’accompagne d’immenses défis, mais il offre aussi aux responsables sénégalais l’occasion d’opérer une transformation structurelle de l’économie.
La fin de l`année 2013, a été marquée, au Sénégal, par une vague d’alertes sur de possibles attaques terroristes venant des services français et américains.
Ma contribution publiée le vendredi 17 juin 2016 a manifestement contrarié le Conseiller spécial à la Présidence de la République, M. Abdoul Aziz Diop, et l’a fait sortir de ses gonds. Elle a suscité, de sa part, une réaction vigoureuse qui ne m’a pas du tout ménagé.
Ce qu’il est convenu d’appeler «l’affaire Déesse Major», a enfin connu son épilogue. Suite à une plainte du Comité de défense des valeurs morales (Cdvm), coordonné par Ouztas Adama Mboup, notre compatriote aura été momentanément privée de liberté, au grand dam de sa famille et de ses fans. L’«attentat à la pudeur et l’atteinte aux bonnes mœurs», ne sont ni des inventions du Procureur de la République Serigne Bassirou Guèye, ni celles du Commissaire de la Sureté Urbaine El Hadji Cheikh Dramé. Mais bien des transgressions dûment spécifiées dans notre Code Pénal, et qui auront été la source de référence des uns, pour se plaindre, et des autres, pour donner droit à une requête. Le tout se jouant sur un sacro-saint théâtre d’opération appelé «Etat de droit». Au grand dam, naturellement, de celle que le Destin aura placée dans l’épicentre de 72 heures d’un singulier branle-bas judiciaire.
La deuxième édition vient d’être clôturée dans la salle de spectacle du Grand Théâtre de Dakar. Ce festival organisé par la communauté turque vivant au Sénégal réunit plus d’une vingtaine de pays venant des cinq continents.