Cette prépondérance du religieux en toute circonstance, qui régente et façonne la vie de nombre de nos compatriotes, fait peur parce qu’elle est la source de propagation de problème, l’un des moteurs du mal social, culturel, et de ses corollaires économiques et politiques. Un nid dans lequel se repaissent et trouvent confort usurpateurs malveillants et voleurs. Cette constatation n’appelle aucune nuance, encore moins les compromissions lâches auxquelles le mauvais religieux invite.