Je ne m’étais pas trompé. Comme je l’avais annoncé dans ma contribution publiée le 5 octobre 2016, ils me sont copieusement tombés dessus et m’ont traité de tous les noms d’oiseaux. Les quotidiens leur ont largement ouvert leurs pages, même ceux qui s’étaient gardés de publier mon texte. Pour l’essentiel, ces courtisans zélés – c’est d’eux qu’il s’agit –, me reprochent ma « haine », ma « méchanceté » et mon « insolence » à l’endroit de la dame la mieux protégée du Sénégal. L’un d’eux, un vieux journaliste, a même évoqué le tribunal qui a condamné Jeanne D’Arc au bûcher, et devant lequel il me traînerait volontiers. L’objectif de ce texte est davantage d’apporter des clarifications que de répondre à leurs attaques en règle.