Au début des années 80, à l’initiative d’un groupe d’animateurs du centre culturel Blaise Senghor et sous la tutelle du Ministère de la culture était initié le festival national des jeunes créateurs, avec une périodicité annuelle régulière.
Archives journalières : 28 octobre 2016
La mutinerie de la Maison d’arrêt et de correction (MAC) de Rebeuss avait été annoncée bien à l’avance. Deux semaines avant le soulèvement qui a coûté la vie à un détenu, pas un seul jour n’est passé sans que les organes de presse titre sur sa survenance à brève échéance. Il y eut même cinq jours de grève de la faim préalable.
Sous la direction du Dr. Bakary Sambe, l’Institut Timbuktu vient de publier un rapport d’une étude de perception sur les « facteurs de radicalisation et la perception du terrorisme chez les jeunes dans la grande banlieue de Dakar. » Interrogé à ce propos par une télévision de la place, j’avais émis des réserves sur la base d’extraits mentionnés par la presse. Mes réserves, assorties d’une meilleure connaissance des contours de l’enquête avais-je dit, reposaient principalement sur deux choses : les extrapolations rapides, la formulation et la compréhension par les répondants des questions posées. Maintenant que le rapport validé par cet institut est sorti et que son auteur s’est expliqué dans un entretien au journal « le quotidien » en date du 24 octobre 2016, je voudrais apporter un autre regard à cette étude que je trouve dangereuse et peu fiable. Voici une illustration de ce qui vient d’être dit : « Pour ceux qui se déclarent appartenir au groupe très composite des Ibadous, au contraire, c’est l’Islam confrérique qui constitue la principale cible terroriste car « l’Islam sénégalais n’est pas conforme avec le vrai Islam » No Comment.