Nous avons tous constaté que depuis l’avènement de la première alternance en 2000 et de l’instauration du régime libéral, le service public au Sénégal perd au fur et à mesure son sens ainsi que son rôle principal, au détriment des citoyens, en se dépérissant et se privatisant progressivement. Ainsi, de fil en aiguille et petit à petit, les citoyens sénégalais se voient privés illégalement de certains de leurs droits légitimes, comme l’usage gratuit des services publics de l’Etat. Ces services qui sont à leur charge, parce qu’ils sont payés par les impôts des contribuables.