«Mes progrès en allemand m’avaient, enfin, permis, de lire des poésies de Goethe dans le texte. Ce fut une révélation, qui m’amena à relire, d’un esprit plus attentif, les grandes œuvres du Maître. Dans ma minuscule bibliothèque je plaçais, maintenant, Faust et Iphigénie à côté de l’Enéide, des Pensées de Pascal et des Dialogues de Platon, devenus mes livres de chevet.» Léopold Sédar Senghor: «Le Message de Goethe aux Nègres nouveaux», In: Liberté I, Paris, Le Seuil, 1964, p. 83.