Trois faits d’une certaine gravité ont retenu l’attention de tout observateur, durant le week end dernier. Chacun des faits a forcément des répercussions sur notre démocratie, malmenée depuis un certain 25 mars 2012. Du jamais vu. Les jeunes aperistes de Guediawaye ont déchiré l’arrêté de Ousmane Ngom de 2011, interdisant les manifestations dans Dakar-Plateau. Dimanche […]
Archives journalières : 18 avril 2017
Depuis un certain temps, on observe une résurgence des prises de position sur l’opportunité des pays africains des zones Uemoa et Cemac de sortir ou non de la zone Franc. A vrai dire, rien, ni dans les termes, ni dans le contenu, de ce débat n’est nouveau. Depuis l’émergence de la zone Franc, à l’aube des indépendances, un très fort courant nationaliste a porté, en Afrique et dans la diaspora, les arguments favorables à une sortie de la zone. Cette dernière étant jugée néocoloniale, l’érection d’arrangements monétaires alternatifs accélérerait le processus de développement des pays membres et romprait les liens de dépendance d’avec l’ancien colonisateur. Ce débat s’était, par la suite, quelque peu estompé, avant de ressurgir dans la période récente, porté par une bonne partie de l’intelligentsia africaine, et même du leadership politique, avec la récente sortie du président Idriss Débi Itno sur la question. Notre point de vue est que dans leur forme actuelle, comme au début des indépendances, les arguments politiques à tendance plutôt souverainistes semblent prendre le dessus sur le raisonnement scientifique sur une question éminemment technique. L’avantage de tels arguments est qu’ils permettent de fouetter la fierté des Africains et pourraient les amener à davantage compter sur eux-mêmes et leur génie propre pour sortir du piège du sous-développement.
Avec les élections législatives de juillet 2017, le Sénégal s’apprête à amorcer un tournant décisif dans son histoire tant au plan politique qu’aux plans institutionnel, économique, social et culturel. Ibrahima Sène, Mankeur Ndiaye, ministre des Affaires étrangères, Ismaïla Madior Fall, conseiller juridique du président de la République ou encore Oumar Youm, directeur de Cabinet de […]
Le phénomène Y EN A MARRE doit cesser de tromper le peuple sénégalais. Cet éclairage est d’autant plus difficile à faire que nous sommes dans un pays frappé par un triple fléau : la moitié de la population est analphabète. Dans l’autre moitié les cinquante pour cent sont semi analphabètes. Dans le quart restant si on enlève ceux qui ne se cultivent pas et ceux qui sont superficiels il ne restera pas grand nombre. Il est clair que Y EN A MARRE exerce un mercenariat vis-à-vis du richissime Georges Soros (sataniste, voir youtube) et de ses nombreuses officines. Et en compagnie de qui leurs photos foisonnent sur internet. En reconnaissant être financés par Georges Soros, le grand milliardaire qui leur a rendu visite, ils nous ont servi l’argument suivant (excusez du peu) : ils ne sont qu’ordonnateurs des dépenses. Qu’ils s’occupent des décaissements. Nous devons savoir que le monde est, aujourd’hui, dominé par la « pensée » illuminati, c’est-à-dire les illuminés de Satan qui adorent le diable( voir youtube, culte satanique). D’où la couleur sombre qu’ils ont demandé aux gens d’arborer après la prière du vendredi. Qui s’habille en noir pour aller à la mosquée le vendredi ? L’heure qu’ils [...]
Dans la nuit du 07 au 08 Mars 2017, le Maire de Dakar Khalifa Ababacar SALL, avec cinq de ses collaborateurs, a été placé illégalement, précipitamment et nuitamment en détention pour, entre autres chefs d’accusation, détournement supposé de fonds publics, blanchiments d’argent, des chefs d’accusation farfelus ne reposant sur aucune base légale et sérieuse. Depuis […]
Ce que vous allez lire remonte au 23 février 1984, il y a 33 ans. Il s’agit d’un entretien à Thiès, de Debra BOYD-BUGGS des États-Unis d’Amérique, avec l’actuel Khalife Général des Tidiane, Al Amine, entretien publié dans le n°148 de la revue Présence Africaine, revue culturelle du monde noir. Mes lectures m’ont mené vers […]