Les « confréries religieuses » suscitent aujourd’hui nombre de controverses. Le terme seul suscite chez certains des inquiétudes : exploitation, domination, perte de liberté, anéantissement de l’être, sous développement ou pauvreté. En parler en termes de « fin » signifie que les pratiques confrériques sont couvertes actuellement d’un voile trompeur, c’est-à-dire une autre chose qui donne une autre identité aux « confréries que celle d’hier. Son identité fut mystique, mais elle a changé, car devenue autre chose, neuve d’une façon certaine. L’épreuve des pratiques politiciennes dans les confréries a vivement entrainé celles-ci vers une autre chose. Ainsi, cette autre chose se doit d’être interrogée pour savoir ce qui l’a rendue possible.