Originaire d’Amérique du Sud puis, dangereusement répandu partout dans le monde, le tabac est aujourd’hui selon l’OMS à l’origine de plusieurs formes de maladies chroniques dont le cancer. Le constat est sans appel ; il tue plus d’une personne sur deux qui le consomment. Fort de ce constat, plusieurs voix s’élèvent çà et là pour dénoncer son essor et la menace qu’il représente pour ses consommateurs. Sous cet angle, plusieurs Etats (parmi eux le Sénégal) ont plus ou moins tenté de limiter les dégâts de cet ‘’apprenti ange de la mort’’ à travers des ajustements législatifs afin de resserrer encore un peu plus l’étau sur l’industrie qui le régit. Des démarches saluées de tous. Seul hic, les actes sont posés mais le résultat escompté n’a jamais vu le jour : le tabac continue de faire des ravages surtout dans les pays en voie de développement et de plus en plus de gens, essentiellement des jeunes s’y adonnent.
Archives journalières : 13 septembre 2017
Le journaliste et consultant Adama Gaye nous avait prévenus tous, il y a plus de cinq ans, de la véritable nature d’un Macky Sall alors en compétition avec Abdoulaye Wade pour occuper le fauteuil de la présidence de la République. Certains en avaient tenu compte, d’autres l’avaient insulté, quelques-uns s’étaient abstenus de prendre part au second tour de l’élection présidentielle du 25 mars 2012. C’est Adama Gaye qui avait raison ! C’est un cocktail implosif de peste et de cholera que nous avons porté au sommet de l’Etat et des institutions du Sénégal. Nous en payons le prix aujourd’hui, jusqu’à la lie.
La mise en place d’une politique de développement endogène à résultante agro-industrielle massive, est l’élément clé qui doit accompagner l’introduction d’une monnaie nationale afin de financer et transformer notre économie.