Le thème de la franc-maçonnerie, après avoir été englouti par les fonds abyssaux grâce à l’arrêté préfectoral du 31 janvier 2018, interdisant la tenue de la réunion de ses disciples à l’hôtel King Fadh, refait surface sur le devant de la scène médiatique, tel un serpent de mer grâce à … l’ arrêté du 26 avril du même préfet, abrogeant les dispositions du premier et autorisant cette fois, ce que le premier refusait et ceci, au non des libertés publiques. Comme si la notion de liberté publique n’ existait pas quand il prenait le premier arrêté . Et pour ajouter la confusion à la confusion, monsieur le préfet, comme une danse en trois temps ( en attendant le quatrième temps? ) ,devant la levée de bouclier de groupuscules obscurantistes, nous revient de nouveau pour nous jurer que cela ne signifie pas que l’ autorisation de tenir réunion leur sera accordée quand ils en feront la demande.