Lors donc, pour avoir exprimé une opinion personnelle sur une question de dogme, Idrissa Seck s’est attiré les foudres les plus dévastatrices du landerneau politico-religieux de notre pays. Au fond, quelque part, on pourrait dire : c’est bien fait pour lui ; çà lui apprendra à «tourner sept fois la langue dans la bouche avant de parler». […]