La comédie religieuse semble connaître une pause. Dans l’ordre du jour de la glose nationale, les sujets sont devenus bien autres. Assez peu question des frasques et tumultes des jumeaux turbulents de la scène religieuse. On observe comme une forme de trêve, d’élégance, ou de lassitude – c’est selon – tant les deux avatars d’homme de Dieu ont déserté la presse. Les faits-diversiers, vedettes s’il en est des colonnes de la presse, se rongent les doigts et pianotent dans le vide. Rien à se mettre sous la dent sur ce front habituellement si fécond en buzz. Kara (1) & Beeco (2) sont à marée basse, mais on peut, sans être devin, prédire que les flots reprendront leur cours bientôt, et qu’on ne manquera pas d’être submergé, voire noyé.