Comme le premier ministre britannique d’alors Neuville Chamberlain et son alter ego Français Édouard Daladier, se rendant en 1938 en Allemagne pour “apaiser” Hitler, dans un acte entré dans la postérité comme le symbole de la capitulation, face à un monstre, cette photo entre, d’une part, un Mickey, dans la tourmente de son échec, pourchassé par ses détournements et ses écarts antidémocratiques et, d’autre part, un Prince héritier Saoudien, discrédité, soudain terne, mains tachées de sang, du sang du martyr Khashoggi, cette photo est une œuvre de malheur. De honte. De compromission.
Ajoutant l’ignominie à cette detestable partie de relations publiques pour un prince saoudien voué à un enfer terrestre et céleste, Mickey a rempli notre avion d’officiels pulars. Le gouvernement et les postes clés du pays sont déjà entre leurs mains. Il faut dénoncer et combattre cette ethnicisation perpétrée par une tapette dont le seul but est de se couvrir peu lui chaut si ça dégénère en conflits ou tensions entre citoyens qui ont vécu en harmonie jusqu’avant sa (malheureuse) arrivée au pouvoir.
Savez-vous qu’ils poussent l’affront jusqu’à faire du poular la langue de facto de travail et de routine dans l’avion, m’avait dit, ulcéré, un de mes amis politiciens.
Il faut arrêter les conneries de l’irresponsable pyromane type qui se dit président. #JesuisKashoggi.
Ps: son cousin Ibou-todjeh-route, encore un membre du clan, devrait lui dire sur la route éponyme comment de moins de 100 milliards son coût final est de 440 milliards.