A la suite de nombreux amalgames, insinuations voire tentatives de désinformations entrepris par mes adversaires, moi, Bocar Samba DIEYE, commerçant demeurant à Grand-Dakar, ai l’honneur de m’adresser à l’opinion publique nationale et aux autorités de mon pays pour clarifier un certain nombre de choses à propos de contentieux m’opposant à la CBAO Groupe Attijariwafa Bank et à la Banque Atlantique.
S’agissant de la CBAO, ses dirigeants soutiennent que je reste leur devoir de l’argent, ce que je conteste avec la dernière énergie. En effet, j’ai soldé jusqu’au dernier centime tous les prêts que cet établissements m’avait accordés du temps de la Banque Sénégalo-Tunisienne (BST) qu’elle a absorbée. Ce qui explique d’ailleurs la lettre de mainlevée qu’elle m’a adressé le 02 avril 2009 et qui est publiée en fac-similé ci-joint. Cette lettre adressée au notaire Me Moustapha Ndiaye parle d’elle-même. Mieux, du 10 avril 2006 au 10 janvier 2007, j’ai payé à vue toutes les commandes que j’ai faites(voir fac-similé numéro 2). Ce pour un montant total de 4.802.562.293 (quatre milliards huit cent deux millions cinq cent soixante deux mille deux cent quatre vingt treize) francs. Dans ces conditions, que la CBAO Groupe Attijarawafa Bank dise que je lui dois des milliards de francs ne peut que m’étonner. Surtout que le tribunal a ordonné une expertise de nos relations commerciales mais cette banque ne veut pas en entendre parler. Pourquoi ? Qu’a-telle donc à cacher ? Depuis des années, je n’ai eu de cesse de réclamer l’original de la traite avalisée que j’aurais signée pour le compte de cette banque mais ses dirigeants sont incapables de me la produire. Dans cette affaire, je considère que la justice sénégalaise a fait son travail. Si les autorités de mon pays veulent que mes biens immobiliers soient saisis par les Marocains, qu’à cela ne tienne.
Que veut la Banque Atlantique ?
S’agissant de la Banque Atlantique, je lui devais 105 millions de francs. Les experts ont estimé que ma dette vis-à-vis de cet établissement se montait plutôt à 223millions de francs.J’ai accepté et j’ai mis cette somme à la disposition de la Banque Atlantique depuis trois ans comme en atteste le fac similé numéro 3 ci-contre. Seulement voilà, elle refuse de prendre cet argent et veut elle aussi récupérer mes biens immobiliers. Telle est, en résumé, la situation qui m’oppose à ces deux banques de la place que sont la CBAO Groupe Attijariwafa Bank et la Banque Atlantique. Je tiens à la disposition de quiconque voudrait obtenir des informations complémentaires à propos de ces deux contentieux tous les documents étayant mes dires. J’adresse mes salutations respectueuses à tous ceux qui auront lu cette adresse.