Dans ma contribution du 3 octobre 2002, je prenais acte, avec prudence, de la démission des deux ministres et de toutes les mesures prises ou annoncées par le Président de la République. J’attendais surtout la suite qui serait réservée à tout cela car, « je ne perdais quand même pas de vue que nous vivions […]
Dakar « capitale de l’émergence », ville désordonnée et bruyante (Par Mody Niang) .