Quand j’ai commencé à lire le post de Jean Meissa Diop, je n’imaginais nullement pas qu’il parlait de lui-même en dépit de la première personne du singulier utilisée.
Je pensais plutôt à ces textes originaux du doyen qui a le talent d’user « d’attaques » qui sortent de l’ordinaire. Pourtant, c’est lui. C’est gravissime. Un choc.
Dans notre religion qu’est le journalisme, Jean fait partie des Khalife les plus dévoués, les plus pondérés, les plus respectés, les plus humbles, les plus accessibles. Il a inspiré et guidé de nombreux talibés qui font figure de référence partout.
Jean defoul kéne dara.
Nous autres, avons des raisons d’avoir peur. Nous avons peur. Mais debout pour Jean et contre toutes les dérives.