Dans sa chronique de ce vendredi, 26 juillet 2019, Mamoudou Ibra Kane fait un clin d’oeil au ciel, qui a enfin exaucé les prières des Sénégalais en ouvrant ses vannes. Le sort des paysans, donc du pays, dépend grandement de cette pluie qui tombe. L’équation de l’eau appelle, de la part de l’Etat, une prise en charge sérieuse, plaide le journaliste. La problématique du changement climatique et son impact sur la pluviométrie ne donne pas le choix aux pouvoirs publics et autres acteurs agricoles. Le fait de l’homme dans un pays qui a abattu tous ses arbres ne saurait être occulté dans la chaine de responsabilités, nous dit-il.