Ce vendredi, à trois jours de la fête de Tabaski, MIK est allé au marché. Sa chronique de la semaine porte sur le célèbre et historique marché Sandaga, actuellement en état de délabrement très avancé. Une belle occasion pour lui de saluer la décision, qu’il juge courageuse et opportune, de fermer le centre des affaires informelles de la capitale sénégalaise pour bâtir, sur le même site un marché moderne mais qui devra respecter l’authenticité des lieux. Pas sûr que cela fasse des heureux sur le moment, du côté des commerçants, mais c’est le prix à payer, pense-t-il…