Quelque part ce matin dans un pays arabophone, entre l’Afrique et le Moyen-Orient, avant les Usa et la famille. Retour en zone rafraîchissant. Je m’essaie au chichia, cette pipe que les arabes fument pour décompresser. Je suis plutôt relax. Libre.
Mais fâché de la nouvelle tendance dans notre pays où les grands criminels sont blanchis, tels Aliou Sall et Mamour Diallo, avec l’aide d’institutions serviles, comme l’assemblée nationale ou la DIC. Halte à cette dérive.
Je ne partage pas les méthodes ni ne suis content du silence coupable d’Ousmane Sonko et d’autres politiciens et acteurs socio-politiques: quand j’étais injustement, illégalement, détenu, pour mes positions, sans être incriminé pour quoi que ce soit de crédible, à part le souci de freiner mes écrits et dires, Sonko et co, et d’autres acteurs publics, sont restés étrangement muets, honteusement muets. J’aurais pu leur renvoyer leur froideur, faire mes calculs et ne pas montrer la moindre solidarité.
Je choisis d’être guidé par les principes chers à ma conscience.
Surtout que les manœuvres visant à faire taire Sonko ou quelque autre politicien, militant public, sont inacceptables. Je les dénonce.
En clair, face à la bête immonde, face à l’injustice, face à l’inéquité devant la loi, je suis, ce jour, et les jours à venir, un soutien de Sonko.
Laissez-le tranquille. La vérité sera. Halte à la dictature. Halte aux ennemis de la liberté et de la démocratie !